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Fäerie – J.R.R. Tolkien

Résumé :

Aux frontières indécises des régions hantées par les  » Hobbits « , non loin du pays imaginaire d’Alice, il existe un  » Petit Royaume  » de la vieille Angleterre où vivait un géant à barbe rousse nommé Gilles de Ham.  » Ham n’était qu’un petit village, mais, en ces temps lointains, les villages étaient fiers et indépendants.  » Ainsi commence le premier de ces trois récits horrifiants et sublimes ( » Gilles de Ham « ,  » Smith de Grand Wootton  » et  » Feuille de Niggle « ) qui entourent l’œuvre maîtresse de Tolkien. Avec la précision des poètes et le sérieux des historiens et des géographes, le célèbre professeur d’Oxford nous ouvre des mondes oubliés et immémoriaux et nous replonge au cœur de notre enfance. Tolkien est un magicien.

 

Ressenti de l’histoire :

Un livre qui regroupe trois contes de fées et un essai sur les contes de fées. Je vais donc donner un avis par histoire et ensuite un avis général pour l’ensemble de livres.

La première histoire c’est : Le fermier Gilles de Ham. J’ai beaucoup aimé l’histoire, qui repose sur la chance et le l’esprit du fermier. Il ne semble pas d’avoir d’intérêt pour les taches qui lui sont demandées en plus de son travail. Ayant, sans le vouloir fait partir un géant qui pensait avoir été attaquer par un moucheron ce dernier repart dans sa contré. Un dragon entend parler de cette contrée ou il pourrait aller s’aventurer. Mais ce dernier aura quelques problèmes en plus.

J’ai beaucoup aimé cette histoire longue, avec une certaine morale à la fin vu qu’elle est construite comme un conte.

La deuxième histoire est Smith de Grand Wootton raconte le travail d’un maitre queux (un chef pâtissier) qui doit crée un grands gâteaux tout les vingt-quatre ans, pour vingt-quatre enfants. Noke est le maitre queux qui doit le faire, sauf que ce dernier n’est pas prêt pour le faire. Il apprend beaucoup en regardant son apprenti faire qui partage son point de vue pendant la première partie de l’histoire. Le vrai conte commence quand un enfant : Smith le fils du forgeron mange la part du gâteau ayant en son sein un objet magique. La suite de l’histoire nous est racontée par l’enfant l’ayant mangé. Il grandira avec cette abjecte qui lui permettra d’aller en Fäerie.

J’ai dévoré ce conte de fées, les personnages sont tellement vivants et les voyages tellement vivants. On ressent dès le début la morale de l’histoire.

Le dernier conte est : Feuille, de Niggle. Un conte qui m’a fait un effet étrange. On nous raconte Niggle qui est un peintre qui veut absolument finir sa toile immense. N’aimant pas être dérangé pendant qu’il peint, il va cependant essayer d’aider de manière simpliste son voisin dont la femme est tombée malade et dont le toit qui fuit. Il devra partir dans endroit sans avoir pu terminée sa toile et sans avoir pu préparé ses affaires.


En lisant, j’ai eu l’impression que ce conte était bien plus triste à la fin qu’il ne nous le laisserait penser. C’était très étrange, entre une idée du fantastique et du ce que pourrait nous rapprochée la fin de l’idée que l’on a quand on meurt.

Du conte de Fées est un essai sur ce sujet. On a un historique sur ce qui est conte de fées selon Tolkien. Bien que certaines références anglophones, ne me sont pas connues, cela n’a pas été un trop gros problème (Google est notre ami 😉 ). J’ai vraiment aimé cet essai. De plus en le lisant cela m’a permis de comprend encore mieux les histoires du livre.

Un livre très bien structuré ! Un livre à lire !

 

Ressenti sur écriture :

Pour les trois contes, une écriture soutenue et écrite dans de vieilles tournures de phrase. J’ai eu du mal à m’y mettre à cause de ça. Cependant une fois dedans, je ne voulais plus lâcher le livre ! L’essai est plus simple à lire avec beaucoup de notes de bas de page.

Point fort :

Un livre que je trouve complet pour son genre. Je trouve que les trois contes et l’essai se complètent parfaitement.

Point faible :

Pas toujours évidant de comprend avec le langage soutenu et que l’on pourrait qualifier de rude.

Recommandation :

5/5

Un livre que je recommande à tous les grands fans de Tolkien. Amateur ou des personnes qui ne serais pas familières avec ce genre de livre, je vous le conseillerais seulement après vous être plonger dans l’écriture spécifique ce Tolkien, bien que différant du Seigneur des Anneaux.

Source :

Tolkien est un auteur anglais, que nous connaissons surtout pour sa saga du Seigneur des Anneaux. Née le 3 janvier 1892 à Bloemfontein et mort le 2 septembre 1973 à Boumemouth. Il été professeur de l’université d’Oxford de 1925 à 1949. Il défendra l’apprentissage des langues comme les langues germaniques. Après avoir écrit quelques essais, un assez crucial et reconnu dans l’étude de ce genre littéraire, est Du conte de fées sorti en 1939. C’est le 28 mars 1972 qu’il est nommé commandeur de l’ordre de l’Empire britannique par la reine Elisabeth II .

Langue d’origine : Anglais pour les textes, mais ce recueil a été crée uniquement en France , il en a bien un en Anglais mais publier en 2008 par Editions HarperCollins
Genre du livre 
:Conte et essais

1re édition Fäerie, J.R.R. Tolkien, Editions 10/18, 1974, 214 p.

Mon édition :Fäerie , J.R.R. Tolkien, Editions Pocket traduit par F.Ledoux, 1997, 214 p.

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