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Gwendy et la boîte à bouton – King & Chizmar

Résumé :

Trois chemins permettent de gagner Castle View depuis la ville de Castle Rock : la Route 117, Pleasant Road et les Marches des suicidés. Comme tous les jours de cet été 1974, la jeune Gwendy Peterson a choisi les marches maintenues par des barres de fer solides qui font en zigzag l’ascension du flanc de la falaise. Lorsqu’elle arrive au sommet, un inconnu affublé d’un petit chapeau noir l’interpelle puis lui offre un drôle de cadeau : une boîte munie de deux manettes et sur laquelle sont disposés huit boutons de différentes couleurs.

La vie de Gwendy va changer. Mais le veut-elle vraiment ? Et, surtout, sera-t-elle prête, le moment venu, à en payer le prix ? Tout cadeau n’a-t-il pas sa contrepartie ?

Ressenti de l’histoire :

C’est une histoire qui se lit très vite, une petite journée si vous n’avez rien d’autre à faire. L’histoire ce passe d’une manière chronologique et commence un peu avant que Gwendy reçois la boîte à bouton. Cette boîte à bouton est l’élément central de tout le livre. Parfois perçu comme bénéfique parfois vu comme maléfique. Écrit presque comme un conte fantastique certaine mettent ce livre en catégorie horreur ce par quoi je ne suis pas d’accord. Ce livre tranche beaucoup avec quoi on est habitué de Stephen King et pour cause, il est coécrit. Je ne connaissais pas le deuxième auteur avant d’avoir lu ce livre. Cela fait que je ne peux pas dire si c’est dans ça veine ou pas.

Ce qui est certain c’est le fait que le livre soit si court fait que les personnages soient finalement assez peu développé. Malgré tout, le personnage de Gwendy est très attachant. On comprend que cette boîte la fascine et lui fat parfois très peur. Gwendy tente d’être la plus juste et être raisonnable au fur et à mesure que le livre avance. On finit par comprendre certaines réticences sur certains points.

Malgré tout, je me demande ce qu’aurait pu donner ce livre avec un personnage moins lisse qu’est Gwendy. En effet, bien que l’histoire transmet une morale que je vous laisse trouver vous-même (c’est très simple à comprendre;) ). Ma curiosité reste un peu déçue. Et puis l’histoire des boutons est quelquefois simpliste, l’idée était là, mais n’a pas eu un coup de cœur de ma part.

Ressenti sur écriture :

Une écriture facile à lire, les chapitres sont très courts ce qui permet de s’arrêter vraiment quand on as en as le besoin, ou peux se lire d’une traite.

Point fort :

Une histoire agréable à lire avec une petite morale à la fin.

Point faible :

Un personnage principal peut-être trop lisse. Par exemple au tout début, elle est intriguée par la boîte et ne cherche pas plus tard dans l’histoire à savoir d’où elle vient. Je trouvais juste dommage que l’histoire ne soit pas plus profonde et ayant plus de caractère que juste pour ce qu’elle montre.

Recommandation :

4/5

Je pense que ce livre est fait en priorité pour des adolescents plus que pour de jeunes adultes.

Source :

Stephen E. King est né dans le Maine (États-Unis )en 1947. Deuxièmes fils de sa famille, ses parents se séparent et vivra avec sa mère. Diplômé en 1966 du lycée de Durham puis le Lisbon Falls Hight School. C’est lors de sa deuxième année qu’il commence à écrire une chronique hebdomadaire pour l’école : THE MAIE CAMPUS. Il a rencontré Tabitha Spruce durant ses études et c’est en 1971 qu’ils se sont mariés. AU printemps 1973, il réussit à se faire publier son premier roman : Carrie par la maison d’édition Doubleday & Co et sortie un an plus tard. Il se met alors à plein temps sur l’écriture. Et à la fin de l’été 1973, « Salem’s Lot » fut finalisé dans une pièce d’un petit garage. Le couple King offre des bourses à des élèves du secondaire et fait des dons à de nombreux organismes de bienfaisance locaux et nationaux. Stephen est le récipiendaire 2003 de la médaille de la Nationale Book Foundation pour sa contribution exceptionnelle aux lettres américaines et de la médaille nationale des arts 2014.

Richard Chizmar est né en 1965. Il est un auteur de journaux tels que : New York Times, USA ToDay ou encore de Publishers Weekl. Il est le fondateur du magazine : Cemetery Dance et de la maison d’édition du même nom. Il a remporté deux prix World Fantasy ainsi que quatre prix internationaux Horror Guild et enfin aussi celui du conseil d’administration de la HWA. Il est également écrivain pour des télé-jeux pour United Artists et pour d’autres sociétés. Son travail a été traduit dans plus d’une quinzaine de langues et participe à de nombreuses conférences en tant que professeur d’écriture et encore entant qu’invité d’honneur.

Langue d’origine :Anglais
Genre du livre 
: Fantastique / Horreur

1re édition américaine Gwendy’s Button Box Stephen King et Richard Chizmar,Cemetery Dance Publications, 2017, 175 P.

1re édition Française Gwendy et la boîte à bouton ,Stephen King et Richard Chizmar,traduit par Michel Pagel, Edition le Livre de Poche, 2018, 160 p. .

Mon édition :Gwendy et la boîte à bouton ,Stephen King et Richard Chizmar,traduit par Michel Pagel, Edition le Livre de Poche, 2018, 160 p.ù

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