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Carrie – Stephen King

Un nouveau livre du roi de l’horreur ! Et pas des moindres son premier roman ! Dans le cas du challenge de Pumpkin Autumn Challenge, j’avais prévu de le lire ! Ayant déja vu le remake du film, je voulais absolument lire ce chef d’oeuvre du maitre tellement on me l’avais vendu !

🕮 Résumé 🕮 

À dix-sept ans, solitaire, timide et pas vraiment jolie, Carrie White vit un calvaire, victime du fanatisme religieux de sa mère et des moqueries incessantes de ses camarades de classe. Sans compter ce don, cet étrange pouvoir de déplacer les objets à distance, bien qu’elle le maîtrise encore avec difficulté…

Un jour, cependant, la chance paraît lui sourire. Tommy Ross, le seul garçon qui semble la comprendre et l’aimer, l’invite au bal de printemps de l’école. Une marque d’attention qu’elle n’aurait jamais espérée, et peut-être même le signe d’un renouveau ! Loin d’être la souillonne que tous fustigent, elle resplendit et se sent renaître à la vie. Mais c’est compter sans l’aigreur et la mesquinerie des autres élèves.

Cette invitation, trop belle pour être vraie, ne cache-t-elle pas un piège plus cruel encore que les autres ?

Ressenti de l’histoire :

Carrie est une adolescente qui as peu voire pas d’ami, et subissant de harcèlement. Sa mère est une croyante religieuse à l’extrême. Ayant même une mini chapelle dans un placard à balais. On ressent la souffrance de la jeune fille du fait qu’elle ne soit jamais tranquille nulle part. Et on le ressent dès les premières pages. Sa mère fait tout pour que Carrie soit aussi croyante qu’elle. Sauf que cette dernière ne veut plus le faire à cause des moqueries qu’elle a ! Elle sait qu’on les trouve bizarres.


Ce qui va tout déclencher, c’est le début des règles tardif de Carrie, moquée par ses camarades, car elle ne savait pas ce que c’était et pensais sérieusement qu’elle était entrain de mourir. Et insulté par sa mère, car elle ne serait pas « pure ». On sent à quel point cela va toucher Carrie et comment cela va tout accélérer. Stephen King décrit ici avec brio le harcèlement et ses conséquences ainsi que la folie de la mère de Carrie pour une religieuse qu’elle suit de manière sectaire.


Le roman est écrit de manière à avoir à la fois l’histoire du vécu de Carrie, à la fois les témoignages d’ancien camarade de Carrie et d’une enquête sur les faits. On comprend toute l’histoire à travers plusieurs facettes du prisme. J’ai apprécié cette façon de faire .

Ressenti sur écriture :

Étant donné que cela était son tout premier livre, il est normal que tout ne soit pas parfait. J’ai cependant trouvé que c’était parfois un peu trop rapide. Mais la lecture reste agréable, et accessible.


Dans tout ce premier écrit, on voit qu’il y a déjà des sujets de prédilections du maître de l’horreur, il dénonce dans de nombreux romans, ici se sont les dérives d’une société sclérosée et sectaire. On comprend le succès que ce livre a eu dès sa sortie par son écriture et son histoire !

Point fort :

Un petit roman qui se lit super bien ! On reproche souvent à l’auteur d’être trop dans l’hémoglobine et que cela est trop crue, ainsi que gore. Ici ce n’est pas complètement le cas. De plus on retrouve déjà sont envie de mettre du paranormal dans le réel.

Point faible :

Personnellement, j’aurais voulu en savoir plus sur une certaine partie. Mais hormis cela, je ne trouve pas de point faible vraiment notable sur ce livre.

Recommandation :

5/5

C’est un coup de coeur ! Une fois n’est pas coutume King, m’as plonger dans un récit que j’ai eu du mal à lâche, et surtout après l’avoir fini j’ai eu du mal à en prendre un autre en main.
Si vous avez peur de vous lancer dans les romans du maître, je vous dirais de le lire après avoir lu La ligne verte !

Source :

Stephen E. King est né dans le Maine (États-Unis )en 1947. Deuxièmes fils de sa famille, ses parents se séparent et vivra avec sa mère. Diplômé en 1966 du lycée de Durham puis le Lisbon Falls Hight School. C’est lors de sa deuxième année qu’il commence à écrire une chronique hebdomadaire pour l’école : THE MAIE CAMPUS. Il a rencontré Tabitha Spruce durant ses études et c’est en 1971 qu’ils se sont mariés. AU printemps 1973, il réussit à se faire publier son premier roman : Carrie par la maison d’édition Doubleday & Co et sortie un an plus tard. Il se met alors à plein temps sur l’écriture. Et à la fin de l’été 1973, « Salem’s Lot » fut finalisé dans une pièce d’un petit garage. Le couple King offre des bourses à des élèves du secondaire et fait des dons à de nombreux organismes de bienfaisance locaux et nationaux. Stephen est le récipiendaire 2003 de la médaille de la Nationale Book Foundation pour sa contribution exceptionnelle aux lettres américaines et de la médaille nationale des arts 2014.

Langue d’origine : Anglais

Genre du livre : Horreur, Thriller

1re édition anglaise : Carrie, Stephen King, (Éditeur) Doubleday, 1974.

1re Édition française : Carrie, Stephen King, traduit par Henri Robillot , (Éditeur) Gallimard, 1976 , 226 p

Mon édition : Carrie, Stephen King, traduit par , Édition J’ai lu, 1995 , 253 p.

2 commentaires

  • lesmotsdelaptitemome

    En ce qui me concerne, j’ai eu beaucoup de mal à accrocher à ce titre de Stephen King et pourtant, j’aime bien cet auteur, c’est rare qu’il me déçoit.
    Mes préférés de lui sont jusqu’à maintenant : « Joyland » « Simetierre » « Marche ou crève » et « Shining »

    • Dyslectrice

      🤔 je pense qu’ils sont incomparables , Carrie n’est pas dans tant dans l’horreur que « Shining ». J’ai vraiment ressentie le début de son travail et de son envie de dénoncé la société à travers Carrie. Ce n’est pas le plus excellent du maître que j’ai pu lire.

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