Plein Gaz – Joe Hill & Stephen King
📖Résumé :📖
Sur une route désolée du Nevada, un gang de motards est pris en chasse par un camion fou, apparemment bien décidé à les éliminer un à un. Il n’existe qu’une seule issue pour sauver sa peau : ne jamais ralentir… Inspiré par le désormais classique Duel, de Richard Matheson, adapté au cinéma par Steven Spielberg dans son premier film, Plein Gaz marque la première collaboration entre Stephen King et Joe Hill.
📖Ressenti de l’histoire :
On suit un gang de motards qui semble avoir des différences quand à la marche a suivre suite a la trahison d’un de leur complice qui leur à piqué tout leur argent. Ils sont alors en route pour aller les récupérer.
Sauf qu’après avoir mangé ils reprennent la route, et là tout ne va pas se passer comme ils le penseraient. Un camion fou va les suivre, accélérant le plus possible pour tenter de les tuer. Le gang va donc devoir trouver une solution très vite, car s’ils sont à court de carburant il meurt et s’ils ne font pas attention au camion il meurt. En quelque centaine de pages on va être plongé dans un thriller haletant.
✍🏻Ressenti sur écriture :
Une écriture qui se passe de détail, on va à l’essentiel.
👍Point fort :
Un livre court qui se lit rapidement.
👎Point faible :
Peut-être que l’on suit un groupe sans vrai contexte après la fin du périple. On a comme un court moment de vie.
⭐Recommandation :
Il est plutôt sympa à lire. Mais ce n’est pas un vrai coup de coeur pour moi. J’ai apprécié, mais j’ai eu un coup de ne pas achever après la fin de ma lecture.
Source :
Joe Hill :
Joe Hill est le second fils du couple de Stephen King et Tabitha. C’est un écrivain de fantastique et d’horreur américain. Il a reçu plusieurs prix pour le roman Cornes qui a été adapté au cinéma en 2014 par Alexandre AJa. À 10 ans, il apparait dans le prologue et l’épilogue du film Creepshow scénarisé par son père. Il s’installe après ses études dans le New Hampshire où il commence à écrire des nouvelles. Il prend le nom de plus de Joe Hill, il voulait réussir sans avoir devoir passer sur le nom de son père : King. En 1999, il reçoit le prix du roman court A.E Coopart pour sa nouvelle : mieux qu’à la maison, il sera aussi publié. Il continuera à écrire des nouvelles pour différent recueil.
Son premier roman est le Costume du mort en 2007. Il reçoit le prix Locus du meilleur premier roman en 2008, ainsi qu’il atteindra la 8e place de la liste des best-sellers du New York Times. C’est seulement peux après la sortit de son premier roman qu’il confirmera son indentiez. En 2009, un roman court écrit par Joe Hill et Stephen King, Plein Gaz, est paru dans une anthologie dédiée à Richard Matheson. Son deuxième roman, Cornes, paraît en 2010 et atteint la 10e place de la liste des best-sellers du New York Times. Joe Hill a trois enfants de son mariage avec Leanora Legrand. Il divorce en 2010.
Stephen King :
Stephen E. King est né dans le Maine (États-Unis ) en 1947. Deuxièmes fils de sa famille, ses parents se séparent et il vivra avec sa mère. Diplômé en 1966 du lycée de Durham puis le Lisbon Falls Hight School. C’est lors de sa deuxième année qu’il commence à écrire une chronique hebdomadaire pour l’école : THE MAIE CAMPUS. Il a rencontré Tabitha Spruce durant ses études et c’est en 1971 qu’ils se sont mariés.
Au printemps 1973, il réussit à se faire publier son premier roman : Carrie par la maison d’édition Doubleday & Co et sortie un an plus tard. Il se met alors à plein temps sur l’écriture. Et à la fin de l’été 1973, « Salem’s Lot » fut finalisé dans une pièce d’un petit garage. Le couple king offre des bourses à des élèves du secondaire et fait des dons à de nombreux organismes de bienfaisance locaux et nationaux. Stephen est le récipiendaire 2003 de la médaille de la Nationale Book Foundation pour sa contribution exceptionnelle aux lettres américaines et de la médaille nationale des arts 2014.
Langue d’origine : Anglais
Genre du livre :Thriller
1re édition : Throttle, Joe Hill et Stephen King; Gautlet Press, 2009
Mon édition : Plein Gaz, Joe Hill et Stephen King, Édition JC Lattès, 2013, 213 p.
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